zoheck

Ben quoi ?!..

Mercredi 14 janvier 2009 à 14:49

Un rêve dans le rêve.
Non, cette fois, il s'agissait de rêves dans les rêves. De vrais poupées russes. Quatre ou cinq je crois. Ou plus. Beaucoup en fait. Parfois je revenais au même endroit. Nan en fait c'était toujours le même lieu. Et je me "réveillais" juste pas exactement à la même place. Mais était-ce un autre rêve ou est-ce que je le refaisais ? Impossible d'en sortir. Je me disais "il faut que je me réveille, il faut que je me réveille..." et puis quand je me réveillais, je me disais "ah! enfin ! j'en suis sortit !". Et je me mettais à faire ce que j'avais à faire. Sauf... Au bout d'un moment, quelqu'e chose tiquait, ou n'alait pas. Et je me rendais compte que je rêvais encore. Alors cela recommençais: "il faut que je me réveille! Il faut que je me réveille !...".
Parfois la pièce était plus grande. Surtout vers la fin.
Il faisait nuit.
Par la fenêtre un train passait. Juste à coté. je pouvais voir la tête des voyageurs.
Alors je fermais les longs et lourds rideaus. Mais juste un peu... Je me souviens à ce moment là j'étais allongé sur un matelas posé à même le sol.
Les murs était gris il me semble.
La teinte dominante dans cette pièce était le gris.
Il y avait d'autres choses que le matelas, mais je ne me souviens plus très bien. Un bureau peut-être... Des choses qui trainaient par terre: des feuilles, des livres, des vêtements... Un peu comme dans ma piaule. Le genre de bazare ambiant habituel...
Impossible d'oublier en revanche les echos érotiques de ce(s) rêve(s). Pourtant j'étais seule. A aucun moment d'autres visages ne sont apparus que ceux du train qui filait, s'arrêtait presque puis repartait à toute allure.
Comment ai-je réussit à me réveiller pour de bon ? Dans ma chambre U plutôt que dans cette autre chambre grise ? Je me souviens, les yeux ouvert sûrement, avoir distingué les rayons de nuit frappant le sol. Contrairement à mon habitude je n'avais baissé le volet qu'à moitié. Heureusement peut-être... Sinon il aurait fait un noir total, et je me serais sûrement retrouvé de nouveau dans cette chambre grise.


Il est déjà 14 heures et demi. J'ai raté mon cours de géosciences. Cela fait le quatrième cours qe je loupe depuis la rentrée. Sur cinq de prévus.
J'ai enfin réussit à dormir cette nuit. Même si après le rêve de la chambre grise je me suis réveillé régulièrement. Cela veut dire que je vais sans aucun doute pouvoir retrouver un rythme normal.
Ce tantôt -enfin tout à l'heure quoi- je devrais aller à la faculté pour voir si j'ai des cours de prévus pour demain et après demain. Et puis poster une lettre aussi. Une lettre importante.
Je devrais téléphoner à Athane aussi. Mais je ne parviens toujours pas à m'y résoudre. Je ne sais pas si j'arriverais à lui cacher certaine chose.

J'ai rêvé que j'étais une biche aussi. Et je traversais un cimetière, en montagne, sous le couvert rafraîchissant des arbres. Il faisait jour.
Ce n'est pas le rêve entier. Mais j'ai la flemme de le retranscrire.

Il y a eut un troisième et dernier rêve. La flemme aussi. Il puis il est plus vague... Moins compréhensible... C'était avec des gens que je connaissais dans mon rêve mais dont en fait j'ignore tout une fois réveillé...

Samedi 6 décembre 2008 à 13:56

Il faut que je raconte cela tout de même. Que je le note quelque part, pendant que mes impressions sont encore assez 'fraîches'.

Voici donc ce qui m'est arrivé. Cela aurait pu arriver à n'importe qui. Et je me demande seulement si n'importe qui aurait fait comme moi. Bah je pense que oui, il doit bien exiter assez de têtes brûlées qui ne peuvent pas tenir en place...

C'était il y a deux semaines si je me souviens bien. J'étais parti le vendredi soir de Nantes pour me rendre à Tours, visiter une amie. Nous avions entendu par téléphone quelques jours avant que je devais venir (bien que nous ayons dit cela d'un ton léger juste avant une coupure, j'avais prit le tout au pied de la lettre...).Je me trouvais donc le vendredi soir, vers 20 ou 21 heures dans le hall de la gare de Tours. Magnifique soit dit en passant. N'ayant plus de crédit comme suggéré plus haut, je me hâtais vers une cabine téléphonique. En effet, je ne savais absolument pas où habitait mon mie, venant pour la première fois. Je ne connaissais que le nom du coin : La Riche. Mais avant de m'engager dans un bus ou l'autre pour ce quartier, il me fallait tout d'abord prévenir mon arrivé...

"Tuuut - tuuut - tuu-clac.. Ouii ?"
"Allô Athane ? C'est moi ! Je suis arrivé à la gare de Tours là !"
" ... oooh... Zoheeeck... "

Je compris tout de suite au ton de la voix qu'elle ne s'attendait pas du tout à ce que je vienne vraiment. Après quelques rapides justifications et éclats de rire cependant, l'atmosphère devint très vite enjouée et exitée.
Quelques minutes plus tard ainsi, je pu courir dans les bras de mon aimée qui avait trouvé un carrosse A pour venir me chercher et nous ramener toutes deux au manoir. Enfin à quelques détails près cela s'est passé comme cela...
Le week end fut exellent.
Le retour un peu moins...
La raison tient en un mot et quatre initiales: grêve SNCF.
Le suel train partant encore le dimanche soir était un TGV. Et évidement, toutes les places étaient prises. Il n'en restait que quelques-unes en première classe. Or bien entendu, un TGV 1ère classe pour un budget étudiant c'est un peu lourd. Surtout lorsque l'on cherche la moindre excuse pour rester plus longtemps. Je prenais donc un billet pour le lendemain à 11h51, en espérant tout de même que le train serait là.

Le lundi matin...
Pas de train annoncé.
Pointe de stress avant de réaliser que le départ se fait à St-Pierre des Coprs, non loin de Tours. Je montais donc dans une navette et dit aurevoir à mon amie.
Mais une fois là-bas, pas de train annoncé. 2 SMS alarmistes et 5 minutes plus tard je grimpais en catastrophe dans un train. j'avais crus entendre qu'il partait pour Nantes.
En fait il revenait à Tours.
12H03.
Si mon train avait un jour existé, il était parti.
C'est alors stressé comme une vache à l'abatoire que je prit un billet pour la ville la plus proche de Nantes.
Saumur.
Je réussit à monter dans le train. Et il partit tranquillement.

Je déscendai à Langeais.
Ne me demandez pas pourquoi !! Je suis descedu à Langeais, oui !! Tout cela à cause de ce -BIIIP- de stress ! de ce -BIIIP- de contrôleur ! et enfin de ce -BIIIIIIIIIP- de panneau indicateur dont je ne lus que la moité ("SAUMUR") et malheureusement la mauvaise (l'autre étant: "Direction -->" ).
Je me suis bien vite rendu compte de mon erreur.
L'endroit ressemblait à tout sauf à une ville comme Saumur. Surtout la gare. Ou plutôt le cabanon qui servait de gare.
Après m'être lancé à moi-même plussieurs malédiction pour être descendu de ce train j'y entrais. ("Mais pouuuurqueuuuouwah je ssssuis descenDUUUU de ce putain de train !???!" fut une question récurente pendant un bon quart d'heure). ce quart d'heure fut utilisé à me rendre une nouvelle fois compte que le prochain train qui pourrait me ramener près de chez moi ne s'arrétait ici qu'à 16H45. Il était 13H15 environ.
Dépité et un peu predu, je retournait sur le quai. Mais je n'eut pas le temps de m'installer sur un banc. C'était sans compter sur ma cervelle grillée...

Il faisait assez beau. Il était très tôt. Les rails me montraient la voie. Et j'avais deux jambes en prfait état de marche.
Entre rester ici durant 3h30 à me tourner les pouces ou partir avec me deux sacs sur le dos dans cette campagne inconnue... je n'ai même pas eut l'impression d'avoir fait un choix.

Je suis partie à pied. Le long de la voie ferrée. J'avais sur moi un plan grossier récupéré sur les prospectus d'horraires des trains. Je savais que le prochain village muni d'un semblant de gare était St Patrice. En fait, j'appliquais ce que j'appliquais au trmaway quand ceux-ci n'arrivait à ma station que dans 20 mins: je marchais en attendant jusqu'à la suivante. Là, je prendrais mon train, mais en attendant, je marchais jusqu'à la prochaine gare où il allait aussi s'arréter.




[ Fin de la parie I ]


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