zoheck

Ben quoi ?!..

Dimanche 10 octobre 2010 à 16:54


"En effet, si la notion de surgissement axial accompagne le poireau, l'oignon peut être comparé à des sphères gigognes par les multiples enveloppes le constituant."



Nan mais je vous le jure, dans le contexte cette phrase est vachement instructive !

Mardi 31 mars 2009 à 23:44

- Miiince ! Avant ce soir je n'avais pas encore percuté que bientôt nous changerons de mois. Et quelle entrée en matière dans ce mois ! Le Premier Avril ! Ce jour qui a longtemps été mon plus attendu de tous (et certes bien souvent le plus préparé... hinhinhin... souvenirs, souvenirs....). Je me demande donc ce qui peut bien me passer par le tête pour que j'en oublie ce jour, même si depuis quelques années heureusement (pour les autres, hinhin...), j'ai été beaucoup moins voire plus du tout entreprenante..-


Je demande depuis longtemps quelles sont les origines de cette "fête". Oui parce que s'en est pas vraiment une. (sauf pour deux ahuris que je connais qui ont eut la bonne idée de naître ce jour là. Et me demandez pas pourquoi on a toujours du mal à les croire la première fois qu'ils vous le disent...).

Après quelques courtes recherches, voici quelques éléments de réponse....


Tout d'abord la Version Niaise :


--> "En France, on raconte que jusqu'en 1564, l'année commençait le 1er avril. Cette année là, le roi Charles IX décida de modifier le calendrier. L'année commencerait désormais le 1er janvier.
Le 1er janvier 1565 tout le monde se souhaita "bonne année", se fit des cadeaux, se donna des étrennes, tout comme à un début d'année. Seulement quand arriva le 1er avril, quelques petitsfarceurs eurent l'idée de se faire encore des cadeaux, puisque c'était à cette date qu'avant on s'en faisait. Mais, comme c'étaient des farceurs et que ce n'était plus le "vrai" début de l'année, les cadeaux furent de faux cadeaux, des cadeaux "pour de rire", sans valeur.
À partir de ce jour là, raconte-t-on, chaque année au 1er avril tout le monde, grands et petits, prit l'habitude de se faire des blagues et des farces.
Comme à cette période de l'année, au début du mois d'avril, en France, la pêche est interdite, car c'est la période de frai des poissons (la période de reproduction), certains avaient eu comme idée de faire des farces aux pêcheurs en jetant des harengs dans la rivière. En faisant cela, ils devaient peut-être s'écrier: "Poisson d'avril!" et la coutume du "poisson d'avril" est restée.
Aujourd’hui, on ne met plus de harengs dans l'eau douce, mais on accroche, le plus discrètement possible, de petits poissons en papier dans le dos des personnes qui se promènent parfois toute la journée avec ce "poisson d'avril" qui fait bien rire les autres.
Certains racontent aussi que le "poisson d'avril" serait devenu "poisson" parce qu'au début du mois d'Avril la lune sort du signe zodiacal des Poissons."

Ayant déjà avant de lire ce texte eut de vagues explications complètements différentes (et bien plus plausibles), j'ai été choquée (et d'autant plus que je pêche (haha) ce texte sur un site pour mômes). Pourquoi ai-je été éberluée ?
A cause de la deuxième version.


Voici la Version Pas Niaise Mais Plus Probable :

--> "Cette tradition trouverait son origine en France , en 1564 . La légende veut que jusqu’alors, l’année aurait commencé au 1er Avril, mais le roi de France Charles IX décida, par l' Edit de Roussillon, que l’année débuterait désormais le 1er Janvier , marque du rallongement des journées, au lieu de fin mars, arrivée du printemps. Mais en fait, l’année civile n’a jamais débuté un 1er avril. Si l’origine exacte de l’utilisation des poissons reste obscure (peut-être l'Ichthus chrétien), la légende veut que plusieurs de ses sujets se rebiffassent à l’idée qu’on leur chamboulât le calendrier, et ils continuèrent à célébrer les environs du 1er avril. Pour se payer gentiment leur tête, des congénères profitèrent de l’occasion pour leur remettre de faux cadeaux et leur jouer des tours pendables. Ainsi naquit le poisson, le poisson d’avril, le jour des fous, le jour de ceux qui n’acceptent pas la réalité ou la voient autrement."
"L'ichtus ( 'poisson' en grec ancien ΙΧΘΥΣ, ἰχθύς / ikhthús ) est un symbole graphique représentant un poisson formé de deux arcs de cercle. Les premiers chrétiens persécutés par les autorités romaines l'utilisaient comme code secret pour se reconnaître entre eux"

En gros pour ceux qui n'ont pas percutés : je te colle un poisson dans le dos pour que les romains pensent que tu es chrétiens, t'arrêtent, t'emprisonnent, te torturent et te jettent aux lions dans la glorieuse arêne ! Ahahahahaha !!! Aaaaah... Ils savaient ce que c'était que l'humour à l'époque, c'est sûr... Braves ancêtres, snif...


- Bon c'est pas tout, mais il va falloir que je me creuse sérieusement la cervelle. Il ne me reste que quelques heures devant moi pour mettre au point quelques plans foireux... huhuhuhuhuuu.... -

Jeudi 26 mars 2009 à 1:41

Hurlements en faveur de Sade.

Il doit être entre 20 heures 5 et 20 heures 15 minutes. Je suis très en avance. Mais cela ne me dérange pas. Je flâne devant les panneaux d'affichages; lis les quelques précisions que je peux glaner sur le film que je vais voir. Puis j'entre. Ou du moins j'essaie : la porte pose quelques difficultés. Normal... Je suis le premier à entrer. L'échange au guichet se fait comme d'habitude, avec les moins de mots possibles et presque murmurés.

Une place étudiant s'il vous plait. Merci. ... Oui, je veux bien. Mmh.. .... Merci.

D'autres difficulté avec la portes à double battants, mais cette fois je m'en sortirais seul.
L'unique pièce m'accueille enfin. Cela faisait si longtemps. Je n'y suis pas allé souvent pourtant. Mais ce lieu est si chaleureux, avec son haut plafond, ses murs de pierres apparentes, ses hautes et larges fenêtres calfeutrées de noir. Et puis tout ces sièges moelleux et douillets rien qu'aux yeux qui veulent bien prendre le temps de glisser sur eux. Pour choisir la bonne place. Au fond, mais pas trop. Mmh non. Un peu plus près. En plein centre. Ah non... Mettons-nous en plein la vue et allons tout devant. Oui mais pas trop; le quatrième rang sera bien.
Le silence.
Toute la salle pour soit.
Pas pour longtemps malheureusement, mais l'espoir fait vivre, non ?
Je suis tout de même très en avance, Mais La conjuration des imbéciles m'accompagne (et je ne crois pas si bien dire). Et quand les rideaux s'écartent, c'est presque à regrets que je quitte les yeux de ce livre.

Hurlements en faveur de Sade...

Premier écran blanc.
Le film commence.
J'écoute, mon visage couvert d'oreilles éclairé par la monotone énonciation d'un (quelconque ?) article de code.

Premier écran noir.
Les pupilles se dilatent. Les oreilles restent à l'affût. Le cerveau, lui, tourne à toute vitesse. Tandis que l'oeil cherche à se raccrocher à quelque chose sur cette aplat lisse, lumineux et totalement noir, que le projecteur crache sur l'écran en ronronnant comme une bête endormie.

Inévitablement.... Première ânerie lâché (inconsciemment ?) par un des spectateurs (ouf! j'ai réussis à rester poli) :
" Il faudrait aller lui dire que la bobine est foutue...! "
Quelques petits rires se font entendre derrière moi. Personne ne bouge. La salle reste plongée dans la pénombre et le ronron. Lui, il ne savait pas ce qu'il venait voir...

Deuxième écran blanc.... suivit de la noire pause.
Le bonhomme se permet un commentaire, suivit des mêmes rires...
Puis ça commence...

A début, en les écoutant d'une oreille sortir leurs conneries, je me disais que ce serait très intéressant d'aller voir cette oeuvre plusieurs fois, en différents endroits et époques, pour observer et comparer les réactions des gens. C'est vrai que ça me tente toujours. Et la prochaine fois, je prendrais note pour ne rien oublier.
Tout de suite deux énergumènes se sont fait remarquer. Le premier paumé, qui s'attendait à se mettre de l'image à fondre sous la rétine. Et un spécimen pure souche de babouin urbain : voix forte et haute, blagues pourries qui font des bides aussi vides que l'écran, rires forcés à chacune de ces dites blagues, et cerise sur le gâteau : air suffisant du type pseudo-lettré qui s'intéresse à l'Oeuvre et s'interroge dessus (à voix bien haute s'il vous plait pour en faire profiter tout le monde)... Le shéma même de la personne qui veut épater sa galerie pas plus fine que lui ou trop blasée par son imbécilité pour lui dire, et qui se croit capable de bouger des foules en lançant des "bah alors personne d'autre parle ? Aller ! Qui veut lancer le débat ? " assommant et énervant...
En second de ce plan auditif, il y a les chuchotements, bien moins contenus que lors d'une scéance plus conventionnelle.

Moi, je ne sais plus si c'est à partir de la première ou de la seconde scène noire, que le malaise m'a sournoisement pris.
Ce silence.
Cette bande noire noire noire.
Intouchable impénétrable.

Insensée.

Avant de m'en rendre compte, je me voyais déjà dans LMDF.
Et je me suis posé une question, que je me pose toujours... L'a-t-il vu ? Avant d'écrire son livre ? Peut-être...

" - Est-ce que tu crois en l'amour ultime ?
- Je ne parlerais qu'en présence de mon avocat ! "


Et là c'est le drame.
Un des spectateurs ( un des trois assis tout près de l'écran devant moi) se lève et quitte la salle. Maintenant que j'y repense, je me dis que c'était peut-être juste parce qu'il ne pouvait déjà plus supporter le babouin urbain et l'homme-sans-cervelle. Et non à cause de ce film étrange...
Un peu plus tard, un deuxième de ces trois là est aussi partis. Il m'a bien fait rire, avec le mal qu'il se donnait pour enfiler son manteau sans lever ses bras ni ses fesses. Comme s'il allait gêner les gens derrière lui ! Il n'y avait absolument rien à voir !
A part du noir et du blanc de bobine usée.

Ah ! Ils en ont bien discuté pendant les nuits du film, du film. Pas mal d'hypothèses... D'idées... Les jours du film, tout le monde se taisait. Tout le monde se taisait parce que les voix de l'écran blanc parlaient. Les spectateurs, eux, n'osaient reprendre la parole que dans le silence de la nuit.
Moi le jour, je fermais les yeux; parce que la lumière vive qui arrivait après la nuit sans aube, me les blessait. Les nuits étaient de plus en plus longues. Tombaient sans prévenir. Coupant la parole des voix. Le jour venait sans prévenir non plus. J'ai même sursauté à un moment.

Je me souviens de montée des prix sur un chantier, d'âge majeur légal à 21 ans, d'une soi-disant introduction du réalisateur (mais il n'était pas là), d'une petite fille  mascotte d'un radio qui s'appelait Pirouette et qui posa son cartable au bord de l'Isère avant de se jeter dedans, de misère, d'hiver, d'amour, de l'article 17..., de notion de suicide, de nuit..... quoi d'autres encore ?.....

Je me souviens de cette fin.
Cette fin qui apporte un malaise; un tel malaise... On y repense longtemps après...
Rien à voir, tout à ressentir.

Et puis cet abruti de mes couilles qui se lève et déclame : " Eh bien merci à vous ! J'étais content d'être là et d'avoir pu débattre avec vous...ect...." .... tsss... Il disait ça comme si c'était lui l'auteur de cette oeuvre. Il était tellement dégoûtant que je n'ai posé sur lui mon regard acide et affligé qu'une fraction de seconde.

Ce film. Hurlements en faveur de Sade. Il faut le voir seul.
Ou bien avec des gens qu'on peut supporter. Donc dans mon cas, seul.

Ce film il faudrait le voir au moins deux fois dans sa vie.
Il est insensé. Il y a du génie dedans.

Juste avant d'aller au Cinématographe, je critiquais justement les nanars hollywoodiens et autres déchets visuels sans consistance qu'on nous sert depuis trop longtemps. Si j'avais pu m'imaginer que quelques heures après j'allais voir le film qui faisait le plus gros FUCK jamais vu dans le monde du cinéma à cette engeance maléfique que je déteste tant... Eh bien... Cela m'aurait très largement suffit comme exemple d'argumentation.


Guy Debord... Chapeau bas !




Mercredi 3 décembre 2008 à 16:53

Wahou ! J'ai réussit à faire un truc potable !
Mon ancien habillage d'origine me manque quand même...
Cependant j'aime le changement et ne lui dit jamais non

- "Salut Baby, j'm'appelle Changement 8) Ca t'dit une nuit de folie ?" -

Je suis assez loin de ce -BIIIP- depuis pas mal de temps. Il faut dire que sans ordinateur je ne peux pas faire autrement mais bon on s'en moque et puis aussi cela m'énerve de parler de cela alors parlons d'autres choses et de toute manière je parle, non: écrit ! tout seul alors qu'est-ce que cela peut faire non mais je vous le demande ?

De toute manière j'vous aime pas.
Alors vous allez sur ce site -> http://www.williamlochner.fr/ , vous LISEZ le livre ! C'EST UN ORDRE !!!

- Mmh... moi pas être rustre comme autre gogol. Moi donner vous bientôt résumé + extrait texte + avis petit pour donner à vous envie lire livre.
"Lettre au familier", du même auteur bien sûr, est un des meilleurs bouquins que j'ai lu. Et j'en ai lu ! Pas de chance pour vous, il n'est pas encore édité. Mais les chemins de l'Elam, qui m'a certes moins plus que "lettre au familier", vaut de pied égal d'être lu.
Criant de vérité, qui se lit sans faim, mais pas 'sans faim' au sens ou se l'engloutit 'paf !' comme cela; ce serait plutôt comme ces petits pain au chocolat encore frémissant de chaleur et pour qui l'on a vidé sa monnaie dans une boulangerie-pâtisserie de luxe, et que l'on ose à peine manger tout d'un cpoup tellement ils sont beaux... Alors on met une moitié dans sa poche et puis on va vaquer, mais les papilles vous arcèleront pour avoir leurs dû et vous n'arrèterez pas d'y penser... Et puis pour ceux qui aiment l'ironie, ils seront servit. Car c'est parfois un humour bien acide que nous sert Lochner. Le genre à bien vous retirer la merde que vous avez dans les yeux mais en vous les blessant aussi, histoire de vous marquer. Il y a aussi cette douceur de la langue française... Cela coule comme de l'eau de source, cela reduit aussi un peu le pH de cet acide... un peu... Bah... Lisez. C'est en fait réellement tout ce que je peux vous dire.-

Samedi 7 juin 2008 à 22:11

Moi j'aime bien quand il y a des gros nuages à l'horizon. C'est facile d'imaginer que ce sont des montagnes.

Description en détail et plus si affinité de mon TP de Baccalauréat de SVT: Dissection d'un souriceau mâle afin de savoir s'il a atteint sa maturité sexuel.

Evidement, au début, on lit attentivement le protocole....blabla... consigne de sécurité...blabla...(on ne sait jamais, les attaques de souris-mort-vivante pourquoi pas ?)... blablabla.

On met la souris sur le dos, on la crucifie soigneusement avec des épingles à nourrice. Attention: il faut que toutes les épingles soit penchées vers l'extérieur pour le pas gêner par la suite le découpage. Les quatres premières épingles doivent être plantées aux avant bras et cuisses ou bien à la mode de Jésus Christ, c'est à dire carrémément dans ses petites pa-pattes roses.

Là on utilise une pince et des ciseaux. On saisit la peau à la base de l'abdomen afin de faire un petit trou. Nous pouvons alors introduire une sonde et la faire glisser sous la peau jusqu'à la gorge de Mickey Mouse -si cela coince il ne fait pas hésiter à insister en donnant des coups sec-. Nous pouvons alors découper proprement, c'est à dire en ligne droite et sans entamer muscles ou organes -pas encore-, de la base de l'abdomen jusqu'au gosier. On manie encore plusieurs fois de même pour découper la peau des quatres pattes -'même pas besoin de pointillés dis donc !-. Il ne reste plus alors qu'à la décoller de la fine couche de muscle et de l'épingler. Plus c'est tendu et mieux c'est !

Ensuite, cela devient plus délicat. L'opération consiste à insiscer la fine membrane musculaire et à la découper sans percer un seul organe. Pour cela on utilise également la sonde et les ciseaux. Ici, comme le but est de prélever des organes génitaux, il n'est pas nécessaire de fendre le sternum. Nous nous arrêtons donc à sa base et découpons à droite et à gauche afin de pouvair épingler la membrane (la même chose se faisant également en bas). Normalement les souris fournis ne sont pas très fraîche; inutile donc de s'inquiéter d'un trop plein de sang. En revanche, son estomac, ou sa vessie, peuvent être pleins alors nous devons faire attention...

Pour ne pas être gêné dans la suite, nous devons épingler les organes qui ne nous intéressent pas: boyaux, estomac sont les plus enconbrant. Il suffit de les repousser vers la haut et de placer deux ou trois épingles pour les maintenir -un conseil évitez de les percer...-.

Commence maintenant la recherche. Voici l'avis: répérer les testicules, relativement grosses, rondes et blanches de Mickey; c'est généralement ce qui se voit le premier. Mais elle ne sont pas notre cible. Il faut en choisir une anfin de repérer, partant d'elle, le spermiducte. Un petit canal à peine plus gros qu'un vaiseaux qu'il va falloir extraire. Pour cela, anfin d'éviter de l'abimer, nous devons retirer tout l'ensemble: spermiducte, testicule, épididyme, et les déposer sur une lame.

A l'aide d'une autre lame, nous devons délicatement racler le spermiducte -et là ce qu'il y a de bien c'est que si nous nous loupons il y en e un deuxième exemplaire, c'est beau la nature-. On ôte ensuite les organes pour pouvoir obsever au microscope ce que le spermiducte de Mickey a bien voulut nous recracher.

Si nous trouvons des spermatozoïdes, c'est que Mickey était bien en âge de procréer. Sinon c'est l'inverse.

Remarque: Les spermatozoïdes de souris ont un peu la forme d'un crochet.

Et je ne vous ai pas mis de photos. Je préfère vous laisser imaginer...

Vendredi 14 mars 2008 à 21:18

Ouuuuhlà.

Je viens d'être invité pour aller à un concert -chouette ! -. La tranche d'âge des gens sera entre14 et 15 ans -déjà que je trouve très immature ceux de 17-18 ans voire plus...-... Que faire...

Et puis que dire... Cela va faire le quatrième article en deux jours. Déjà que je n'ai pas beaucoup la parlotte. En fait c'est surtout des photos ou des images que j'ai à mettre. Et cela me frustre un peu de ne rien écrire avec. -Même si cela n'a rien à voir, n'est-ce pas ?-

J'ai l'impression qu'être de bonne humeur depuis presque trois mois me fait régresser.

Il faut que je me dépêche.

J'ai eut l'idée de noter ici des extraits de mon cahier. Cela pourrait être intéressant de s'auto-critiquer. Ou même d'user d'une bonne couche d'autodérision. Ou juste de se lamenter sur son sort...

Arf...

Bon, il n'y a plus trop de place là...

-Balaise le lombric, hein ?

Megascolides australis qu'il s'appelle... -

Mardi 12 février 2008 à 19:11

Tadaaaa ! ~

Ce soird'hui -ze sais pas si cela existe mais c'est beau X3- une deuxième personne qui me connais (IRL) connais ce blog. Et à mon avis; elle, elle ne perdra pas l'adresse. Enfin bon, tout ça pour lui adresser une petite dédicace avec un clin d'oeil virtuel -et pis aussi un gros calinou et pleins de gentils gros poutous partout ! partout ! X3-. Et tant que j'y suis je vais continuer sur un autre sujet. je sais que les pages du blog ne viennent pas des arbres mais j'ai cette habitude d'économiser les feuilles (je sais je peux écire très longtemps comme ça XD je vous assure que je ne suis pas blonde (et je n'ai rien contre les blondes, juste pour l'expression)).

Et là ma conscience me souffle: -chaaaat ! ~ X3- Raaaaah ! Mais t'as pas bientôt finit avec tes niaiseries !!! >< Non ! Elle me souffle: ta dissertation de philooo~~

Troublante ressemblance, non ?...

Bon sang que j'aime l'univers ! *w* De tel casse-tête ont de quoi rendre folle ! C'est si passionnant ! On en vient à se demander si nos graaaaaandes galaxies ne seraient pas des cellules XD Si, si ! Je me suis posé la question et j'y est réfléchit. Et ça colle pas. Parce qu'il existe d'innombrables nébuleuses dans une seule galaxie. or une cellule n'a pas plusieurs noyaux... Mais je vient de oenser que tous les organismes ne sont pas forcément fondés sur notre modèle. Alors pourquoi pas plusieurs noyaux ? Mais c'est nul... parce que toutes les nébuleuses n'ont pas la forme d'un ADN (ou vice versa).

Pur Hasard ?

Si vous dites cela à n'importe quel physicien vousv vous faites frapper...

Jeudi 20 septembre 2007 à 18:44

J'aime le violon.

C'est donc pour cela que je vais en parler un peu. Juste une petite anecdote... apprise en cours S.V.T -on vois tout de suite le rapport avec le violon ¬¬-

Je n'y connais absolument RIEN en matière de violon. Mais comme beaucoup de monde, j'ai bien évidement entendus parler des "Stradivarius". -Je n'ai jamais pu comparer le son produit par un de ces violons à celui produit par un autre violon, mais soyons crédule...- Car si le Stradivarius est si célèbre, c'est parce qu'il a un son unique en son genre justement. Bien des hypothèses ont été émises pour savoir pourquoi.

Il il y en a une qui m'amuse beaucoup -surtout su'il est très probable qu'elle s'avère correcte-.

Si les Stradivarius sont particulier ce serait à cause d'une période glaciaire.

-Je vous laisse une minute pour vous fendre la poire et puis je vous explique.-

Comme on le sais, la Terre traverse des cycles climatiques qui altèrnent entre période de réchauffement et périodes glaciaires. Et dans ces périodes dites glaciaires, il y a des alternances un peu moins fortes mais présentes tout de même. -Un peu comme des mini-périodes de réchauffement ou glaciare.- Et il se trouve qu'au 18ème siècle, il y a eut une de ces petites périodes glaciaires, qui a duré environ une dizaine d'année. Les hivers étaient donc beaucoup plus rudes et longs. Il neigait également beaucoup plus et il faisait bien évidement plus froid. Les arbres qui ont grandis pendant cette période ont été forcé de s'adapter pour mieux résister au froid. La densité de leur bois s'en est retrouvé changé -qui a dit que les violons ne poussaient pas dans les arbres ? ¬¬'- Et c'est ce bois qui a servit à fabriquer les fameux Stradivarius et qui leur confère une tonalité différentes.

Bon, je ne remet pas non plus en cause le talent du luthier, parce qu'il devait sûrement tirer profit des propriétés du bois qu'il choisissait.

N'empêche que c'est aussi pour ça qu'on ne risque pas un jour de voir une réplique exacte arriver. Sauf si on re-traverse une période glaciaire. Et là il faudra attendre au mieux 10 000 000 d'années avant que la période de réchauffement dans laquelle on se trouve finisse. -Et vu comment c'est parti avec l'Humanus...-

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