zoheck

Ben quoi ?!..

Samedi 27 juin 2009 à 17:50

-Cette nuit j'ai rêvé que je mangeais une omelette aux champignons hallucinogènes. Eh bon sang ! Le monde n'était plus le même ! Quels défilés de couleurs, de formes et de nuances ! Le sol ne me portait plus. Athane s'inquiétait de me voir tomber quand j'allais danser. Danser aux milieu de ses couleurs changeantes et mouvantes. Et j'en redemandais de ces champignons ! On m'en a apporté des plus gros encore que les premiers ! Moins acides aussi, et qui firent totalement disparaitre le sol.
Le sol, cet imbécile qui nous tient trop raide.-

Mercredi 14 janvier 2009 à 14:49

Un rêve dans le rêve.
Non, cette fois, il s'agissait de rêves dans les rêves. De vrais poupées russes. Quatre ou cinq je crois. Ou plus. Beaucoup en fait. Parfois je revenais au même endroit. Nan en fait c'était toujours le même lieu. Et je me "réveillais" juste pas exactement à la même place. Mais était-ce un autre rêve ou est-ce que je le refaisais ? Impossible d'en sortir. Je me disais "il faut que je me réveille, il faut que je me réveille..." et puis quand je me réveillais, je me disais "ah! enfin ! j'en suis sortit !". Et je me mettais à faire ce que j'avais à faire. Sauf... Au bout d'un moment, quelqu'e chose tiquait, ou n'alait pas. Et je me rendais compte que je rêvais encore. Alors cela recommençais: "il faut que je me réveille! Il faut que je me réveille !...".
Parfois la pièce était plus grande. Surtout vers la fin.
Il faisait nuit.
Par la fenêtre un train passait. Juste à coté. je pouvais voir la tête des voyageurs.
Alors je fermais les longs et lourds rideaus. Mais juste un peu... Je me souviens à ce moment là j'étais allongé sur un matelas posé à même le sol.
Les murs était gris il me semble.
La teinte dominante dans cette pièce était le gris.
Il y avait d'autres choses que le matelas, mais je ne me souviens plus très bien. Un bureau peut-être... Des choses qui trainaient par terre: des feuilles, des livres, des vêtements... Un peu comme dans ma piaule. Le genre de bazare ambiant habituel...
Impossible d'oublier en revanche les echos érotiques de ce(s) rêve(s). Pourtant j'étais seule. A aucun moment d'autres visages ne sont apparus que ceux du train qui filait, s'arrêtait presque puis repartait à toute allure.
Comment ai-je réussit à me réveiller pour de bon ? Dans ma chambre U plutôt que dans cette autre chambre grise ? Je me souviens, les yeux ouvert sûrement, avoir distingué les rayons de nuit frappant le sol. Contrairement à mon habitude je n'avais baissé le volet qu'à moitié. Heureusement peut-être... Sinon il aurait fait un noir total, et je me serais sûrement retrouvé de nouveau dans cette chambre grise.


Il est déjà 14 heures et demi. J'ai raté mon cours de géosciences. Cela fait le quatrième cours qe je loupe depuis la rentrée. Sur cinq de prévus.
J'ai enfin réussit à dormir cette nuit. Même si après le rêve de la chambre grise je me suis réveillé régulièrement. Cela veut dire que je vais sans aucun doute pouvoir retrouver un rythme normal.
Ce tantôt -enfin tout à l'heure quoi- je devrais aller à la faculté pour voir si j'ai des cours de prévus pour demain et après demain. Et puis poster une lettre aussi. Une lettre importante.
Je devrais téléphoner à Athane aussi. Mais je ne parviens toujours pas à m'y résoudre. Je ne sais pas si j'arriverais à lui cacher certaine chose.

J'ai rêvé que j'étais une biche aussi. Et je traversais un cimetière, en montagne, sous le couvert rafraîchissant des arbres. Il faisait jour.
Ce n'est pas le rêve entier. Mais j'ai la flemme de le retranscrire.

Il y a eut un troisième et dernier rêve. La flemme aussi. Il puis il est plus vague... Moins compréhensible... C'était avec des gens que je connaissais dans mon rêve mais dont en fait j'ignore tout une fois réveillé...

Samedi 13 décembre 2008 à 11:34

Le dernier cauchemard en date m'a visité mardi soir. Ou était-ce lundi ?

Il semblerait en tout cas qu'ils veuillent bien enfin me lâcher. Mais il est peut-être encore trop tôt pour l'affirmer... car quand ce ne sont pas des cauchemards à proprement parler, ce sont des rêves si tristes que je me réveille le visage couvert de larme. Et pourquoi y a-t-il toujours plein de monde dans ces rêves-là ? Il faut toujours que toutes les personnes que je connaisse ou que j'ai connue soient toutes réunies. Sans pourtant pour autant intervenir dans l'histoire de mon rêve. Elle sont là. Tout bêtement. Occupant l'espace comme un armée en campagne.

http://zoheck.cowblog.fr/images/Photos/mirrors-copie-1.jpg
Bah... Tant que cela ne m'empêche pas de dormir ce 'est pas si grave...

Mercredi 30 juillet 2008 à 12:13

Car le papier ne sent pas toujours le café.

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