Et puis il y a ce môme, à peine deux ans de moins que moi, mais qui me tane que Paris c'est atroce, à visiter oui, mais y vivre, installe-toi un anti-viol ou trouve toi un petit copain black de 2 mètres dix quatre vingt dix kilogrammes et catcheur. Parce que Paris et son métro, Paris et ses rues moches, Paris et ses bourgeois qui t'agressent, ses racailles qui te snobent et t'insultent, Paris et sa pluie, Paris et sa pollution, et ses voitures brûlées, Paris et ses Parisinades quoi.
Et puis il y a le magnifique film V pour Vendetta, et cet instant sublime, ce doux moment où ils dansent tous les deux sur cette chanson siii... En fait V c'est une merguez géante. Et elle ne peut pas s'empêcher de rire, la Zoheck, elle en veut au Castor mais c'est viscérale, une réplique aussi débile.
Et puis il y a l'écosysthème de la Laiterie: les bateliers mangent, les bateliers ne font pas la vaisselle, les bateliers ne finissent pas les restes, la vaisselle traine, elle traine, la vaisselle s'encrasse, la vaisselle s'entasse dans l'évier, l'évier se remplit, l'évier déborde, lévier pu les bateliers font la fête; les chiens perdent leurs poils, le sol se salit, le sol colle, les cadavres de bouteilles s'entassent, les cadavres de bouteilles s'entassent devant la porte principales, les restes aussi, les chiens mangent les restes, les cafards mangent les restes, les abeilles mangent la confiture, les abeilles se noient dans la confiture, les WC se remplissent de feuilles mortes et de toiles d'araignée, le mur de bière grandit, le mur de cadavre grandit, la mur de PQ grandit, les bateliers ne font pas la vaisselle, la culture de champignons progresse: bientôt on en nourrira le continent africain; la vaisselle et la saleté s'entasse, les cafards meurent, les abeilles butinent, les saletés les restes la nourriture non périmée migrent vers la 'sale' télé, la vieille moquette écossaise se recouvre de mégot et de cendre, les poils de chiens recouvrent la moquette, les couverts sales aussi, la moquettes est marqué du signe des bateliers par une fourchette ardente les quatres marques noires des dents empreintes comme sur du bétail; les bateliers jouent à la console à coté des papillons de nuit, les bateliers n'ont plus rien à manger, les bateliers font les courses, les bateliers font un grand ménage, les bateliers nettoient, les bateliers peuvent s'asseoir sur la cuvette, les bateliers mangent, les bateliers mangent dans des couverts propres, les chiens bavent et toussent, une fête est prévue. Le cycle peut reprendre.
Sans compter les ânneries que les client sont souvent capable de sortir.
... c'est la bite à dudul en forme de point virguuule, qui bourre et qui encuuuule...
Et puis il y a les Castorade de Castor Junior. Les arrivés -envolées- de port de Victor. Les moignons de Marine. Alex le stressé et l'énervé qu'on ne sait toujours pas pourquoi. La moto de Jéré... "Oui en effet, le marais c'est très..très..caaaalme... ... vvVVRRRRRAAAAAOOOOOUUUUUUUUMMmm VVRAAAMmmVRAAAAMmmVVROOOOOOOAAAAAAAMMMmmmm !!! 'U__U". Le Pastis Magique de David dans son cubis... "On va le finir ! On va le finir !" Je suis sûr que le p'tit David l'a finit...
Oui parce que merci pour l'originalité des prénoms in the Laiterie. Nous nous retrouvons avec deux Alexis, trois David, deux Jérémi...
-Il ya aussi: dans cette caravaaaaneuh !- Roh la paix avec ma caravane ! ><
Et puis aussi la pêche aux écrevisses. De 22h00 à 02h30 pour attraper UNE écrevisse. Mais bon, la pause paté-baguette au couteau de poche restera mémorable. Et puis quelques semaines plus tard le record a été battu: CINQ écrevisses. Dont deux ratées. Je taierai les cinq mort qui leurs a été octroyé -'veut pas de problème avec la SPA-
Les étoiles sont magnifiques à la Laiterie. 'Jamais trouvé meilleur endroit pour les voir. Combien d'étoiles filantes déjà ? J'espère que mes voeux se réaliseront... Et je me demande bien quels voeux, lui, a pu faire. C'était bien agréable comme moment. Tout comme le Vivaldi-Nargui avec père Castor. Inoubliable. Et je suis bien content d'avoir vécu tout cela avec eux.
La Laiterie... Il m'a fallut deux saisons.
Pourquoi est-ce qu'il me faut toujours autant de temps pour aimer les humains ? Pourquoi à chaque fois que j'y arrive il est déjà trop tard ?
Evitons que cela fasse pareil à Nantes. Mais si je me force, je sais très bien ce que cela donne...
M'enfin...
"Comme les doigts de la main"..."Un verre plein se vide, un verre vide se plaint"..."Grognasse"...*claquement de doigts* *bruits bizarres et borborigmes étranges* "C'est och !"... *sifflement sur un air plus ou moins gai*