zoheck

Ben quoi ?!..

Mercredi 2 janvier 2008 à 14:31

Je redécouvre Micheal Polnareff et c'est un plaisir.

Mes parents l'adoraient donc lorsque j'étais gosse j'ai été "nourris" au Polnareff. Ses chansons font parties des premières dont je me souvienne. Surtout "la poupouée qui fait non", "love me", "on ira tous au paradis" et "la mouche" que je chantais à tue-tête.

Plus de 10 ans plus tard voila donc que je me replonge dedans.

Je recopierais bien quelques paroles de mes nouvelles chansons préférées mais j'ai la flemme... je vais plutôt écouter les autres albums que je n'ai pas encore épluché.

Ah oui, au fait... Bonne année 2008 et Joyeux Noël.

Bientôt je ferais un article sur l'amour: j'ai trouvé une image trop drôle et elle m'inspire.

Jeudi 29 novembre 2007 à 21:52

Wooouuuh... Le grand blanc juste après la reprise... Je vais donc faire un effort pour pondre un article ce soir.

Mais sur quoi ?

Oui, j'ai dit que je ferais plus attention au monde qui m'entoure... et gnagnagnaaa... Je ne pense pas avoir regardé récement les infos, ou distraitement...

...

On parlera du monde la prochaine fois !

Un livre que je conseille et qui peu se lire en un jour: le magasin des suicide. Je ne me souviens plus de l'auteur... En tout cas c'est une petite histoire, courte, amusante, qui fait peur parfois, et... puis voila. Bon, ce n'est QUE de l'humour noir mais même ceux qui n'aime pas peuvent lire.

A part cela voici la liste de ce que j'ai commencé à lire:

"Mars la Rouge" de Kim Stanley Robinbson.

"Les Confessions" de Rousseau

"Mémoires d'outre-tombe" de Chateaubriand

"Critique de la raison pure" de Kant

"Fables" de La Fontaine

"Alcools" d"Apollinaire

Et parmis les encyclopédie et atlas je lis:

"L'Histoire du monde Premières Civilisations Des origines à 670 avant J.-C."

"Atlas du Ciel Un voyage à la découverte des planètes, des étoiles et de l'univers"

"Encyclopéde de la Mythologie Nordique, Classique et Celtique"

"La Mythologie Grecque"

"Voyage vers l'instant zéro"

Je m'étais mis en tête de relire le lièvre de Vatanen et marche ou crêve et de finir de lire un livre sur la psychologie, un sur la mort et une autre histoire de loup-garou mais la pile de livre à coté de mon lit oscillait sans arrêt et se renversait souvent alors j'ai fait un tri sélectif (Je ne compte pas les BD et les mangas que je m'enfile à coté.).

Les encyclopédies je les lis par petit bout, comme amuse gueule ou bien entre deux romans. J'ai fait une pause dans Chateaubriand parce que j'ai tendance à mélanger avec Rousseau. J'avoue avoir du mal avec Kant. Je pense que je vais suivre les conseil d'un ami et commencer plus doucement avec Freud. Mars la Rouge sera suivi de Mars la Verte et Mars la Bleue. Et dès que je trouve en librairie un autre livre d'Anne Rice je l'achète et je le dévore.

Mais je n'ai pas parlé de l'autre livre. Celui qui me rend encore plus folle. Celui dont j'ai parlé à plusieurs personne pour qu'ils le lisent lorsque je l'aurais finit. Mais maintenant, je n'ai plus envie. Je suis prise d'une possessivité à l'égard de ce livre qui m'étonne parfois. Pourtant je me l'avoue sans soucis. C'est MON livre. Je veux que PERSONNE ne le lise. Je veux qu'ils l'oublient. Et qu'on me l'aisse dans ma maison des feuilles...

Mercredi 17 octobre 2007 à 20:41

Attendu que nous sommes en Automnes depuis déjà 25 nuits et 25 jours:

 

CYRANO

Les feuilles !

ROXANE, levant la tête, et regardant au loin, dans les allées.

Elles sont d'un blond vénitien.                                                                                                                                      Regardez-les tomber.

CYRANO

                                                                                                                                      Comme elles tombent bien !    Dans ce trajet si court de la branche à la terre,                                                                                                       Comme elle savent mettre une beauté dernière,                                                                                                           Et malgré leur terreur de pourrir sur le sol,                                                                                                     Veulent que cette chute ait la grâce d'un vol !

ROXANE

Mélancolique, vous ?

CYRANO, se reprenant.

Mais pas du tout, Roxane !

ROXANE

Allons, laissez tomber les feuilles de plantane...

 

(Edmond rostand)

Dimanche 14 octobre 2007 à 15:49

http://www.feelingsurfer.net/garp/poesie/original/Vigny.LaMortDuLoup.html

Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur.
Il disait: " Si tu peux, fais que ton âme arrive,
A force de rester studieuse et pensive,
Jusqu'à ce haut degré de stoique fierte
Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté.
Gémir, pleurer prier est également lâche.
Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
Dans la voie où le sort a voulu t'appeler,
Puis, après, comme moi, souffre et meurs sans parler."

J'ai l'impression d'être comme cela. je m'éforce de faire mon chemin sans me soucier des autres. Quand des personnes aiment ou détestent quelque chose, elles le communique bruyament, s'expriment de toutes leurs forces pour que tout le monde le remarque. Moi, si j'aime ou déteste quelque chose et j'aimerai que les autres le sachent, je me tais. Je ne fais pas étalage de ma vie, de mes sentiments, de mes émotions. Le moins possible.

Et si on vient. Si c'est l'extérieur qui m'approche, si on me pose des questions. Je me tais. Ce n'est pas faute d'avoir envie de répondre, de communiquer. Mais je me tais. Parce que je n'aime pas faire étalage bryament, extravagement, comme les autres.

Esprit contradictoire ?

Peut-être un peu.

Je n'aime pas faire comme les autres. Et je n'aime pas que les autres fassent comme moi. Une des raison pour lesquelles je ne supporte pas la mode. Les rayures en sont un bon exemple. Avant quelles remplissent les rayons, quand personnes n'en portaient, moi je trouvait cela bien. J'aimais bien. C'était dur à trouver mais tant pis. Et quand c'est devenu à la mode, et que j'ai vu tous les gens autour de moi en porter, que j'ai vu ce que je considérais comme quelque chose d'agréablement extravagant devenir l'apanage des pétasses et des tarlouzes, cela m'a dégoûté.

C'est l'exemple du genre de truc qui m'arrive assez souvent avec pas mal de chose. Et pas seulement matériel.

Du coup je passe souvent pour une insensible auprès de ceux qui me connaisse un peu.

Ainsi, au cours de ma courte vie on m'a déjà dit: "Wow ! Je t'imaginais pas du tout amoureuse. O_O ", ou bien carrément "T'es pas humaine". Je prend ça comme un compliment mais c'était pas dit dans ce but là du tout... Et il y a eut aussi le "T'es un ado refoulé." Ca, ça m'a totalement vexé par contre (le genre de truc qui ne m'est arrivé que deux ou trois fois, être vriament vexé).

Mais je n'y peut rien si je supporte pas ma nature. Bon ok, il y a tout de même des bons coté: l'intelligence, la bipedie et la préhenssion, l'écriture et la lecture, l'art... Mais il y a un GROS inconvénient: la société.

Bien sûr je dis ça mais si cela se trouve je serais incapable de vivre seul, en ermite. Je ne demande qu'à essayer.

Mais ce n'est pas non plus tout l'un ou tout l'autre. Il ya des gens que je supporte. Rares. J'en convient. Même très rares. Si je les comptes, ils sont: ... 4. Vivre avec ces personnes pour l'éternité ne me dérangerais pas. Je dis peut-être cela un peu vite mais je suis aussi prête à essayer.

M'enfin...

Tout ce baratin pour arriver à quoi ?

Cela me soulage. C'est tout. Aussi simple que cela. Je n'en ai rien à faire des lecteurs potentiels.

Dimanche 9 septembre 2007 à 17:47

Et la pluie a la même couleur des pensées.

Et le tonnerre rappelle le bruit des souvenirs.

STAN RICE

Samedi 8 septembre 2007 à 14:58

L'HORLOGE

Horloge! dieu sinistre, effrayant, impassible,                                                                                                            Dont le doigt nous menace et nous dit: "Souviens-toi!                                                                                              Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d'effroi                                                                                                Se planteront bientôt comme dans une cible;

Le Plaisir vaporeux fuira vers l'horizon                                                                                                                     Ainsi qu'une sylphide au fond de la coulisse;                                                                                                    Chaque instant te dévore un morceau du délice                                                                                                            A chaque homme accordé pour toute sa saison.

Trois mille six cents fois par heure, la Seconde                                                                                                     Chuchote: Souviens-toi! - Rapide, avec sa voix                                                                                                         D'insecte, Maintenant dit: je suis Autrefois,                                                                                                               Et j'ai pompé ta vie avec ma trompe immmonde!

Remember! Souviens-toi! prodigue! Esto memor!                                                                                                 (Mon gosier de métal parle toutes les langues.)                                                                                                        Les minutes, mortel folâtre, sont des gangues                                                                                                            Qu'il ne faut pas lâcher sans en extraire l'or!

Souviens-toi que le Temps est un joueur avide                                                                                                          Qui gagne sans tricher, à tout coup! c'est la loi.                                                                                                          Le joueur décroît; la nuit augmente; souviens-toi!                                                                                                     Le gouffre a toujours soif; la clepsydre se vide.

Tantôt sonnera l'heure où le divin Hasard,                                                                                                                 Où l'auguste Vertu, ton épouse encor vierge,                                                                                                             Où le Repentir même (oh! la dernière auberge!),                                                                                                      Où tout te dira: Meurs, vieux lâche! il est trop tard!"

Charles

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