zoheck

Ben quoi ?!..

Jeudi 25 juin 2009 à 13:21

J'ai un talent certain pour le silence; peut-on en faire un métier ? Une chose à demander..

'nike your mother / reebok your sister
and adidas rock'n roll '

- Et yop ! -



Te fait pas de bile. Pour ton oral, avant de rentrer dans la salle, tu desserres les fesses et tu pètes un bon coup. Ca ira toujous mieux. -un vieux conseil d'un ancien camarade de collège, peut-être se reconnaitra-t-il un jour...-. Pour les transports, il suffit de savoir lire. Si tu as réussis à aller jusqu'au bac je suppose donc que c'est ton affaire. Tu n'as plus qu'à te laisser guider par ton mignon petit billet (heure de départ, quai, wagon, place). Et au pire t'as une langue et un sens -certes atrophié-
de la politesse et de l'amabilité, alors tu demandes à la dame ou au monsieur en uniforme qui sont payé pour renseigner toutes la sainte journée les paumés.
Les dingues on les trouve un peu plus loin.

Jeudi 25 juin 2009 à 13:06

http://zoheck.cowblog.fr/images/Images/trolld10stroumpf.jpg

Jeudi 25 juin 2009 à 12:34

Youpi.

Je pense avoir trouvé un substitu à la cigarette.
Thiéfaine.
Bah oui, après ma période Pau-paul'narêve, c'est le tour de Hubert.

Jusqu'à l'écoeurement.




'Sentiments numériques revisités'

 
'La philosophie du Chaos'

'La fille du coupeur de joint'

 
'Aligator 427'
 
'113ème cigarette sans dormir'

 
'Sweet amanite phalloïde queen'


 
'La vierge au dodge 51'
 
'Lorelei'
 
...ect...
Il fait sans aucun doute les plus belles paroles au monde.

" pour un temps d'amour
tant de haine en retour "

Jeudi 25 juin 2009 à 12:21


" Et Jésus change le beurre en vaseline ... Dieu est in! "

Jeudi 25 juin 2009 à 12:14

Mardi 23 juin 2009 à 19:53

[.......]
C'est plus amer que du café sans sucre. plus amer et plus insignifiant que cette clope roulée qui s'envole en fumée en moins de quatre minutes.
Lire. Il faut que j'aille lire.
Je pourrais bien passer ma vie à lire. En faire autre chose n'est pas indispensable.
Je suis raté. [....]
Oui lire.
La présence des humains n'est pas indispensable quand j'ai la compagnie de chef d'oeuvre littéraires.
Les livres ça parle comme les humains, mais je peux les interrompre quand bon me semble. je peux les refermer en les claquant, ils ne se vexeront jamais. Ils se rouvriront au contraire tout aussi indifférement pour reprendre leurs histoires. Cela ne dis que des choses intéressantes et ne m'agacera jamais les oreilles. C'est toujours beau un livre. Ca fait toujours rêver. Ca se laisse aimer et haïr à l'infini sans jamais s'en émouvoir ni s'altérer. le temps qui passe ne les aigris pas. Au contraire, il les rend plus beau et attirant encore! Les livres sont infinis et ne manqueront jamais. Il ne laisseront jamais mon esprit s'endormir. Mais sans le torturer. Ils sont une source intarrissable de pensées et d'idées; une véritable eau de jouvance mais aussi de sagesse, et à la fois de folie.. Les livres sont réconfortants, si réconfortants... et m'offre tout ce que je désir et rêve et espère... les livres ne me mentent pas. Le livres ne me trahissent pas. Chaque vérité est la-leur. Ils sont toujours là, tout pres de moi, à porté de main et de vue. Les livres sont comme les chansons de notre enfance et la musique. Les livres sont comme une drogue. Extase au vol plané, il n'y a qu'à demander...
Les livres je peux leurs faire tout ce que je veux sans soucis de mauvaise conscience. Je peux être le pire des monstres humains avec eux, ils ne se plaignent pas. Ils restent rien que pour moi, car le livre n'a pas de sentiment.
Juste l'âme qu'il me vole.
Je passerais ma vie entière à lire. Je pourrais la passer à ne faire que cela. Puisqu'aujourd'hui, mourir m'est indifférent. Puisque la majorité des choses ne sont que futilités, et ridicules.
Lire. Lyr...
Je préfère une fin plutôt que cette attente de la fin.

Vendredi 19 juin 2009 à 20:47

http://zoheck.cowblog.fr/images/couloir.jpg

Mardi 16 juin 2009 à 12:39

C'est bon, elle est sortie hier de l'hôpital psychiatrique.
Ce n'est pas pour cela qu'elle va mieux mais tu sais ce que j'en pense de ces trucs... le principal c'est qu'elle soit retourné à la Perrine, et bien entouré avec ça. Ses parents, Martoche et un de ses nombreux amis : Guizmo. Demain il retourne chez lui; et les quatres autres vont en Belgique, dans la familla...Tou complends ? La familla c'est saclé !...
Et puis les belges sont les pros de l'autodérision... Quand on voit dans quelle merde ils sont depuis presque un an ça se comprends... Enfi de toute façon même avant ça ils n'ont jaais été très gâté... Bref...
Le fait qu'elle soit enfin sortie n'efface pas tous les problèmes, toutes les souffrances. Choses auxquelles je dois trouver une solution. Et vite.
Parce que le Martoche et ses bouffées de testostérone n'attendront pas longtemps. Pfff... Quel idiot. S'il savait tout ce que je sais, il en aurait du monde à casser la gueule. 
Enfin...
Dans tout ce vide, moi, je me sens largué. Plus d'une semaine à se ronger les sangs, à parler et rendre visite à une pauvre créature shootée et future droguée... Puis pouf! la voir soudain partir. Se ronger encore les sangs. Se sentir paumée. Se sentir dépassée. Continuer à sourire au travail.

Lundi 15 juin 2009 à 11:24

...
"Un crime au paradis" , ce ne serait pas le titre d'un film ça ? Ou d'un livre ?
Enfin peut importe. Au paradis j'y suis, ou en tout cas cela y ressemble fort. Le crime y a eut lieu. Je suis ce qu'on dit : dépassée par la situation.
Je crois aussi que je ne me rend pas bien compte de la réalité. Je suis encore un peu trop dans les nuages. Je crois que mon esprit n'a pas tout à fait bien percuté. Ce qui explique pourquoi je dors encore, pourquoi j'arrive toujours à manger, à me forcer à sourire, à venir me distraire sur l'ordi, la télé, les... Les livres je n'ai pas encore osé par contre. Je sais que si je continue à lire j'abandonnerais tout. Mais je n'ai pas envie d'être lâche. je veux être forte et courageuse. Et affronter la résolution de ce crime. Et lui parler, ou du moins essayer. Et puis ensuite de le castrer.
Mais tout ça c'est pour le fun.
Un crime ne se répare jamais. Ca disparait jamais. Ca s'oublie jamais. Un crime ça étend toujours sont influence sur des dizaines de kilomètres.
Tout comme la connerie.
Il va falloir que je m'en aille.
faire un travail répétitif, brûlant, suant, puant, dégoûtant mais où l'important c'est que je ne réfléchirais plus et que je ne serais pas obliger de sourire tout le temps. Puis j'espère qu'il pleuvera.
...
Rah, et puis il y a ces deux-là qui vont me bassiner pour savoir ce qui se passe parce que j'ai faillis craquer hier...

Jeudi 4 juin 2009 à 21:50

Pas de liste en fait...
...en fête...





.srevne'l à tuot siaf eJ

...erocne sap siassiannoc em en li ,tiov es alec ,àl-iulec ;sap xuaf ses ed te sruerre ses ed tianerppa no'uq écnal a iuq iuleC .siof euqahc à erip sruojuot ,erip remia'd eilof elleuQ ...!? etsilanruoj eriaf xuev no'uq tnemenitrep no'uq srola secneicS sel snad recnal es ed eédi elleuQ ...seduté seL

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